Jusqu’au 3 octobre, les artistes Annouchka Gravel Galouchko et Stéphan Daigle accueilleront les planteurs de clous, les enfants questionneurs et tous les Je suis… du continent.
Depuis trois semaines, la maison Valois vibre au rythme des coups de pinceau et de marteau d’artistes d’ici et des passants attirés par cette énergie participative. Le projet Je suis… a une fois de plus enfanté une idée de médiation culturelle unique. Deux artistes peintres de Vaudreuil-Dorion invitent la population à vivre une expérience dynamique et symbolique. « Plus ça va, plus c’est ludique, remarque Stéphan Daigle. L’essentiel, c’est qu’on joue ensemble. On s’amuse dans un processus de création. On se découvre les uns les autres. »
Marcher sur le pied du bouddha
À une corde à linge sont suspendus des vêtements sur lesquels les gens peuvent imprimer une partie de leur corps. « Les vêtements symbolisent la communauté, explique Annouchka Gravel Galouchko. On unifie les membres de la communauté dans un même vêtement pour dire qu’on n’existe pas séparément. »
Un grand tableau noir invite à la réflexion collective sur le thème de Je suis... Sur le plancher, un immense pied de bouddha reçoit les clous et les coups de marteau des participants de façon à créer une texture artistique communautaire. « C’est une connexion avec la communauté. On franchit l’espèce d’intellectualisme qui empêche les gens de comprendre la fonction de l’art », analyse Stéphan Daigle. « La démarche est plus importante que le résultat, assure quant à lui Michel Vallée, l’homme derrière le projet Je suis... Il y a le côté un peu plus classique que les gens connaissent, soit de s’asseoir à une table et dessiner, mais ils sont entourés de quelque chose d’un peu désarçonnant. »
Un grand tableau noir invite à la réflexion collective sur le thème de Je suis... Sur le plancher, un immense pied de bouddha reçoit les clous et les coups de marteau des participants de façon à créer une texture artistique communautaire. « C’est une connexion avec la communauté. On franchit l’espèce d’intellectualisme qui empêche les gens de comprendre la fonction de l’art », analyse Stéphan Daigle. « La démarche est plus importante que le résultat, assure quant à lui Michel Vallée, l’homme derrière le projet Je suis... Il y a le côté un peu plus classique que les gens connaissent, soit de s’asseoir à une table et dessiner, mais ils sont entourés de quelque chose d’un peu désarçonnant. »
Suite du blogue de la médiation culturelle JE SUIS...
Dire le territoire pour que le verbe se fasse chair
Laisser ses traces dans la communauté
La corde à linge reliant la communauté
Notre aventure comme chefs d'orchestre de projets d'art participatif et communautaire se poursuit allègrement depuis plusieurs semaines à la Maison Valois provoquant de belles rencontres pour la plupart inattendues, réunissant des citoyens de tous âges, nationalités et cultures.
Je suis aussi la terre (rappel d'un enfant)
S'enraciner dans le territoire
En tant qu'artiste et médiatrice culturelle, je me vois avant tout comme un pont vivant permettant de relier les gens par le biais de la création partagée et des mots échangés.
Dans la quiétude de la création
La maison Valois est devenue un véritable atelier de création. Les termes pour décrire le moteur de nos médiations sont EXPRESSION, HARMONISATION et COMMUNAUTÉ
Rassembler la mosaïque de nos vies
Dans le cadre de la campagne, JE SUIS… orchestrée par Michel Vallée, Directeur du service des Arts et de la Culture de Vaudreuil-Dorion, vous êtes chaleureusement invités à venir participer aux activités ludiques et signifiantes de médiation culturelle, imaginées et supervisées par Annouchka Gravel Galouchko et Stéphan Daigle autour du thème de l’individu dans la communauté.
• Poser un geste pour vous implanter et vous enraciner dans le territoire • Imprimer votre empreinte sur la culture régionale •Ayez votre mot à dire sur l’importance de la culture et de la communauté • Laissez votre griffe créatrice dans l’histoire de notre région
À la maison Valois à Vaudreuil-Dorion, située au 331, avenue Saint-Charles, les samedis et les dimanches du mois de septembre de 12 h 0 à 16 h 0 ainsi que le 2 et 3 octobre.
Porter l'empreinte de l'autre sur soi
S'implanter encore et encore dans le territoire
Un laboratoire de création
Soigner son être
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